Réalisations

Cela se passe lors du festival cinéma d’animation de Clermont-Ferrand en 2016.

Le projet se réalise par groupe. Nous étions mélanger avec les élèves du lycée Descartes de la formation DMA Animation. Chaque groupe avait une technique d’animation imposée pour réaliser un court-métrage muet (car lors de la projection c’est des musiciens qui orchestrer la bande son en direct). Les techniques proposés étaient : traditionnelle, pixilisation et stop-motion. Avec mon groupe de cinq personnes, nous devons faire une animation traditionnelle : c’est-à-dire, dessiner image par image afin de donner une illusion de dessins en mouvements.

Nous avons échanger nos idées afin de proposer une storyboard pour avoir une idée des différents plans à réaliser, et également pour se répartir le travail. Il y avait une contrainte de temps, nous avions seulement 3 jours pour finaliser nos travaux (comptant l’écriture, réalisation et montage).

Après être mis d’accord sur le design de nos personnages, notre scénario, les différents plans, nous nous sommes répartis le travail. Nous avons mélanger les plans fixe (répétition d’une image qu’on re dessine),répétitions de mouvements et l’idée de superpositions d’éléments plastiques (tâches d’encres).

Nous avons choisi d’utiliser les crayons à papier pour nos illustrations pour garder ce côté traditionnelle et l’idée du travail plastique. Par la suite au moment du montage nous avions mis en négatif (inverser les couleurs) afin que notre fond blanc devienne noir comme les match de catchs et questions de facilité le temps de travail, et que nos personnages ressortent.

Le choix des tâches d’encres représentent de manière ludiques et colorés les coups que les personnages donnent et reçoivent pour paraitre moins violent lors de la projection.

Concernant le. côté technique nous pavons utilisé le logiciel DragonFrame, qui permettent de prendre en photo en connectant un appareil de manière instantané avec une manette (qui est connecté également sur l’ordinateur). Les clichés sont directement disposé sur la timeline (zone de montage) et peuvent être directement visualiser en choisissant le temps d’une image pour voir si la continuité de nos dessins soient fluide concernant leurs mouvements qu’on désire.

Pour le montage de la vidéo finale avec les dessins/animations qui ont étaient exportés en version .mp4, pour qu’on les mettent à la suite, nous avons utilisés Final Cut Pro.

 

Cette expérience fut pour moi une réelle découverte de l’animation 2D. Je me suis plongée dans ce domaine avec un oeil attentif et une grande admiration, que c’est à ce moment là que j’ai su que je voudrais continuer sur cette voie plus tard.